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Citoyens réveillons-nous! Sauvons l'Ecole Publique!
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Citoyens réveillons-nous! Sauvons l'Ecole Publique!
10 juin 2008

Nuit des écoles sur Trappes

coucou à tous
Vous vous demandez comment occuper votre soirée de vendredi soir!
Une soirée des écoles ça vous tente? Orchestre de jazz, jeux de société ou autre chose? Et promis Manon nous refera Carla. Hein Manon t'es d'accord? Tout ça en présence de sarcosettes et de darcosettes.
Petit repas bien entendu. Spécialités culinaires bienvenues, et apéro (liquide et solide)!
Qui est partant?
Pour le lieu ça arrive dans un prochain mail. (montaigne wallon...).
Toutes idées, pour animer la soirée, bienvenues.
Et si par hasard vous avez des gentils parents à amener eux aussi sont les bienvenus.
A jeudi
Réponse rapide car il faut prévenir la mairie et indiquer l'école sur le site nuit des écoles. Motivons nos collegues, soyons nombreux....

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E
LE BLOG DES LIVRES - 14 août 2008 <br /> http://larecherche.typepad.fr/le_blog_des_livres/2008/08/main-basse-sur.html<br /> Main basse sur l’école publique<br /> Même si la rentrée n’est pas pour toute suite, un constat s’impose d’ores et déjà au vu des programmes des éditeurs. Elle sera placée sous le signe de la rentrée….. , puisqu’une bonne vingtaine d’ouvrages aborderont la question de l’école, de sa crise, de ses valeurs, de sa réforme, de son avenir. Le débat récurrent sur le système scolaire à la française croise désormais les chantiers présidentiels et gouvernementaux, lesquels sont précédés d’offensives intellectuello-médiatiques comme la tribune de l’actuel ministre de l’Education nationale Xavier Darcos, « le sarkozysme est l’allié de l’école » paru dans Le Monde le 18 juillet dernier *. L’un des essais à thèse les plus dérangeants est proposé par les éditions Démopolis. Il vient d’être envoyé à la presse et sera en librairie dès le 25 août. Un enseignant, Eddy Khaldi, par ailleurs militant à la Ligue de l'enseignement et conseiller fédéral de l'UNSA Education **, et une journaliste, Muriel Fitoussi, ont analysé l’ensemble des décisions et des réformes réalisées depuis 2002 – quand Xavier Darcos était ministre délégué ou même 1996 quand celui-ci était conseiller pour l’éducation auprès du premier ministre Alain Juppé. Ainsi le remplacement de 14 recteurs sur 30 depuis 2002 traduit pour les auteurs une insidieuse prise de contrôle de l’école publique par une tendance ultra-conservatrice, certains des nouveaux titulaires ayant même appartenu au Club de l’Horloge. Main basse sur l’école publique (224 p., 20 €) décrypte ainsi la logique de multiples mesures apparemment anodines et qui témoignent d’un pouvoir croissant d’une idéologie très hostile à un grand secteur public de l’école et de l’éducation. La méthode est stimulante et l’argumentation serrée. L’ouvrage souligne également l’impasse d’une résistance fondée seulement sur la défense du statu-quo. A sa lecture, on comprend combien les tenants de cette privatisation de l’école ont bénéficié d’un appel du vide, lequel renvoie plus profondément à la grande difficulté de la pensée républicaine à se retrouver une forme de modernité. L’urgence d’une vraie réflexion sur l’école n’en devient que plus cruciale. Nous en reparlerons notamment avec l’essai du sociologue François Dubet, Faits d’école (Editions de l’EHESS, 280 p., 14 €). <br /> <br /> Vincent Duclert<br /> <br /> * On lira avec intérêt la réponse d’un agrégé de lettres classiques et inspecteur pédagogique régional retraité, Raymond Mallerin : « Le darcosarkozysme est l’ennemi de l’école » (Le Monde, 10-11 août 2008).<br /> <br /> ** Il est précisé que "l'auteur n'est pas mandaté par ces organisations pour la publication de ce livre". <br /> <br /> <br /> <br /> Dépêche AEF n°100180 Lundi 11 août 2008, <br /> "Main basse sur l'école publique", un livre de Eddy Khaldi et Muriel Fitoussi <br /> <br /> "Jamais un chef de l'État ne s'était immiscé avec autant d'insistance dans les salles de classe, dans l'esprit des élèves, et dans les programmes et la feuille de route des enseignants", écrivent Eddy Khaldi et Muriel Fitoussi, dans "Main basse sur l'école publique", publié aux éditions Démopolis. Ils relèvent que, depuis son élection, Nicolas Sarkozy a eu "l'occasion d'imposer dans l'agenda médiatique une authentique révolution libérale dans l'Éducation nationale".<br /> <br /> Selon eux, alors que "le président de la République est dépositaire de la laïcité, fondement de notre Constitution", le candidat de l'UMP à l'élection présidentielle a choisi très vite de privilégier l'enseignement privé: "Dans ses discours de campagne, [il] n'évoquait quasiment jamais l'Éducation nationale, proposant, a contrario, et de façon très explicite, un redéploiement et une extension des établissements privés." Une préférence qui, d'après les auteurs, s'est confirmée une fois Nicolas Sarkozy élu, avec "le privilège octroyé à l'enseignement privé catholique" au sein du plan banlieues, "qui revient à permettre à la puissance publique d'aider, là où les besoins sont les plus criants, à l'essor d'une concurrence […] au service public". Cette situation profiterait, selon eux, à l'enseignement catholique, qui "fait figure d'arche de Noé […] devant le naufrage annoncé" de l'Éducation nationale. Un tel contexte serait le fruit d'une "sainte alliance entre les libéraux défenseurs d'une école marchande et des [catholiques] traditionalistes rêvant de voir les églises retrouver le monopole perdu […] de la formation des esprits".<br /> <br /> FORMER DE FUTURS CITOYENS<br /> <br /> Face au modèle d'enseignement privé qui "incarne une école qui fonctionne et s'administre sur le mode libéral: recrutement des élèves et des professeurs, libre choix des familles derrière lequel s'impose, en réalité, celui des chefs d'établissement", les auteurs revendiquent plutôt une école qui prend en compte "les besoins de la société" et qui "se doit aussi de former des futurs citoyens, libres et autonomes". "Or seul le service public est susceptible d'assumer cette mission dans le respect de l'égalité d'accès de tous, conformément au principe de laïcité inscrit dans le marbre de la Constitution", concluent-ils.<br /> <br /> Main basse sur l'école publique, Eddy Khaldi, Muriel Fitoussi, Démopolis, 224 pages, 20 euros. À paraître le 25 août 2008.<br /> ISBN: 978-2-35457-011-8<br /> <br /> Contact: Éditions Démopolis, Laurent Hebenstreit, relations presse, 01 47 07 30 77, lhebenstreit@demopolis.fr, www.demopolis.fr
A
Oui,le rouleau compresseur continue d'avancer sans se soucier de ce (ceux?) qui se trouve(nt) sur son passage... Certes,cette fin d'année nous voit fatigués... D'accord, deux mois de vacances se profilent à l'horizon...<br /> <br /> MAIS, S'IL VOUS PLAIT NE VOUS DEMOBILISEZ PAS !!!!<br /> Montrer notre désaccord, notre inquiétude doit continuer de nous occuper au quotidien.<br /> <br /> VENEZ NOMBREUX VENDREDI SOIR, ACCOMPAGNES DE VOS HUMEURS (LA BONNE ET TOUTES LES AUTRES), POUR ECHANGER AVEC LES COLLEGUES ET PARENTS PRESENTS AUTOUR DE NOTRE PREOCCUPATION COMMUNE, DANS UNE AMBIANCE CONVIVIALE (MAIS MALHEUREUSEMENT SANS JAZZ...)
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